Et si on se remettait à l’écriture ?…

Il y a de cela un bon moment, j’écrivais un peu… Beaucoup en fait… Énormément même. J’écrivais tout et rien. J’écrivais tout ce qui me passer par la tête. J’écrivais tout ce que je pouvais imaginer. Cela pouvait naître d’un rien : une musique, une sensation, une vision… Tout pouvait faire jaillir un bout de récit dans ma tête, qui s’affichait comme un film dans ma tête. Je voyais la scène se déroulait, et il ne me restait plus qu’à la retranscrire, qu’à la mettre en mots. Il me suffisait d’utiliser les bons mots. Et depuis quelques temps, ça ne m’arrivait plus. Non pas que les films ne surgissaient plus dans ma tête… Mais je ne trouvais plus les mots. Je n’arrivais plus à retranscrire mon imaginaire. Syndrome de la page blanche ? Peut être. Mais impossible de savoir d’où cela venait… Et il y a peu de temps,  encore une fois sans explications, les  mots sont revenus. Aussi soudainement qu’ils étaient partis. Et j’ai ressenti ce besoin de les mettre par écrit. Ce besoin intrinsèque d’écrire…
Et, toujours sans explications, j’ai eu envie de partager ça avec vous. Peut être parce qu’ici c’est mon moyen d’expression, et que cela fait partie de moi. N’hésitez surtout pas à me dire ce que vous en pensez, je suis preneuse de toutes les critiques constructives ! Mais je vous demande quand même d’être indulgents, car cela faisait longtemps que je n’avais pas écrit…

« Lubiri Urbane » par Natalia Mundri

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler un peu art, et plus précisément photographie. J’ai découvert le travail de la photographe roumaine Natalia Mindru, et je suis tombée en admiration devant ses clichés. Ils m’ont beaucoup touché, et je me suis même reconnue avec mon chéri dans certains d’entre eux. Je vous partage donc « quelques uns » (trente pour être plus précise) de mes clichés favoris (et le choix a été très difficile devant la beauté des photographies, j’ai quand même dû me restreindre). Je vous encourage fortement à aller vous-mêmes admirer son talent sur son blog. 

Playlist – Soirée entre filles

Salut tout le monde ! La semaine dernière, on avait décidé avec Rose (Les secrets d’une croqueuse de livres) de se faire un weekend entre filles sans nos copains. La première soirée fut très tranquille avec au programme cinéma et pizza. Quant à la deuxième, nous avions décidé de sortir et de profiter de notre soirée « en célibataires » pour sortir toutes les deux dans un club de la capitale. Et qui dit sortie entre filles, dit préparation dans la salle de bain pendant 2h (ou presque !). Mais que serait une préparation entre filles sans fond musical adéquat ? Je me suis donc dit que j’allais vous partager notre petite playlist qui a tourné en boucle dans la salle de bain, et qui nous a bien ambiancé avant de sortir ! Let’s go to the party :

The 20 Day Binge de Pixel-Pusha

Salut tout le monde. On se retrouve aujourd’hui pour parler d’art. Je vous présente  un artiste dont les méthodes peuvent être, et sont certainement, discutables, mais je trouve pourtant le résultat de son travail magnifique et très poignant.

L’artiste américain Brian Pollett, alias Pixel-Pusha, s’est lancé il y a peu dans un projet assez étonnant : tester 20 drogues différentes pendant 20 jours, et laisser sa créativité parlée pour voir l’influence que chaque drogue avait sur sa perception. En commençant ses dessins à partir d’un même visage, il retransmet sans aucune limite les effets de chaque produit sur son cerveau. L’artiste a cependant déclaré par la suite ne pas avoir consommer certaines drogues (comme le G.H.B., la psilocybine, le poppers, l’éthers, la phényléthylamine et le MDMA).

Malgré une méthode surprenante et donnant à controverse, le résultat n’en reste pas moins esthétiquement remarquable. Cela fait resurgir une question qui a souvent été posée dans le domaine artistique : la consommation de produits illicites est-elle le seul moyen de booster son potentiel créatif et de s’ouvrir l’esprit ?

Evidemment, je rappelle que ce type d’expérience est très dangereuse et n’est pas à reproduire à la maison. Je vous laisse découvrir son travail.

JOUR 1 : BUTYLONE

Ce soir je regarde… (500) Jours Ensemble

Salut tout le monde ! Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler cinéma. Jusqu’à maintenant, je parlais principalement des films que j’allais voir au cinéma, mais j’ai aussi envie de vous parler des films que je regarde dans ma chambre le soir. Des nouveaux films que j’ai découvert, des films que j’adore, des films que j’ai vu et revu… Enfin bref, un peu de tout quoi ! Et on commence aujourd’hui avec…

(500) Jours Ensemble

Synopsis

Tom croit encore en un amour qui transfigure, un amour à la destinée cosmique, un coup de foudre unique. Ce qui n’est pas du tout le cas de Summer. Cela n’empêche pourtant pas Tom de partir à sa conquête, armé de toute sa force et de tout son courage, tel un Don Quichotte des temps modernes. La foudre tombe le premier jour, quand Tom rencontre Summer la nouvelle secrétaire de son patron, une belle jeune fille enjouée. Au 31ème jour, les choses avancent, lentement. Le 32ème jour, Tom est irrémédiablement conquis, pris dans le tourbillon étourdissant d’une vie avec Summer. 185 jours après leur rencontre, la situation est de plus en plus incertaine – mais pas sans espoir. Alors que l’histoire fait des allers-retours au sein de la relation parfois heureuse, mais souvent tumultueuse de Tom et Summer, le récit couvre tout le spectre de la relation amoureuse, du premier coup de coeur aux rendez-vous, du sexe à la séparation, à la récrimination et à la rédemption et décrit toutes les raisons qui nous poussent à nous battre aussi ardemment pour arriver à trouver un sens à l’amour… Et, avec un peu de chance, à en faire une réalité. (AlloCiné)